Bonjour cher lecteur / participant de ce blog

Tu as aimé l’histoire de confiance de Sylvie (présenté dans le livre « Ma confiance« ) et tu aimerais en lire d’autre? C’est bon, allez, je me laisse convaincre.

J’avais un peu commencé à présenter Paul beau, grand, six pieds, bâti solide, qui en impose et se montre parfaitement cohérent et logique dans son discours… mais qui ne sait plus où se mettre sur sa chaise pour oser m’avouer que, devant son patron, il se sent comme un moins que rien, incapable d’aligner deux idées?

Son regard fuit et il a les épaules toute baissé en racontant comment il perd toute sa confiance lorsque son patron, Éric, lui pose une question toute simple, mais qui le prend tout simplement au dépourvu. Paul a alors le sentiment de se vider de toute ses connaissances, il a l’impression de ne plus rien savoir, et simplement parce que la question est tourné d’une manière déroutante, axé sur un détail qui pourrait être insignifiant, Paul se dit alors qu’il est nul et n’a finalement pas la compétence pour occuper son poste. Il songe même à se ré-orienter… vers un emploi plus simple. Je précise qu’il occupe ce poste depuis six an à la pleine satisfaction de son employeur!

Je jase avec lui d’autres sujets, aux aguets de situations ou a vécu de la satisfaction ou de la réussite. Il nomme rapidement le hockey dans son enfance, et je perçois l’éclair qui allume ses yeux à cette mention. Je note bien cela dans ma tête.

Comme j’arrive à l’exercice du personnage symbolique, Paul, qui est plutôt manuel, trouve ma proposition pas mal bizarre et franchement pas clair. Je re-phrase en ajoutant: cela pourrait être un héros d’enfance, un sportif que tu admires, un… Ses yeux s’ouvre tout grand: – «  P.K. Subban ! ». Merveilleux, l’indice du hockey m’a aidé a toucher dans le miles. Il me décrit ce héros du hockey, en insistant sur sa confiance, sa capacité a ne pas se laisser déjoue, a ne pas perdre de vue son objectif,s ayant toujours en tête l’emplacement de ses coéquipier pour négocier au mieux le chemin menant la rondelle dans le but adverse. Excellent!

Je reviens a son expérience dévalorisante devant son patron, et je lui demande comment P.K Subban réagirait, lui, face a se jouer essayent le le désir de so but. La réponse de Paul fuse clair et assuré: il ne se laisserais pas impressionner! Il sait ce qu’il peut faire, ses stratégies, son objectif et il ne laisse pas l’Adversaire le faire hésiter.

Je souris, puis je lui demande ce qui se passerais, face à son patron qui a sa question déstabilisante, si lui, Paul, se sentait comme s’il était lui-même P.K Subban. Paul reste surpris, entre en lui même, puis souris doucement. Il se mets même à rire: He ben, la je réalise que si j’étais P.K. Subban je ne me laisserais tout simplement pas déstabiliser par mon patron, car je le sais ce que j’ai à faire, mon plan et ma gestion d’équipe, alors, je n’ai qu’a dire à mon patron mon plan, et cela répond à sa question!. Paul s’est redressé, il se tient la tête haute, les épaules droite, le regard pétillant et le visage rayonnant: « J’ai hâte d’essayer avec mon patron! »

Comme vous vous en doutez, Paul a conservé son poste, il a même eu une promotion un an plus tard!

Alors pour vous, qui serait ce personnage, ce modèle inspirant?

Laissez vous transformer

Isabelle

pour d’autres histoire de clients….